vendredi 14 décembre 2007

Pour ne pas oublier

LEXPRESS.fr du 21/11/2007

Barbara 1930-1997

Rappelle-toi, Barbara

Gilles Médioni

Le 24 novembre 1997, Barbara disparaissait. Dix ans après, L’Aigle noir, Perlimpinpin, Au bois de Saint-Amand courent de par les rues… Et une génération découvre ses chansons où se bousculaient passions, colères, regrets, pardons. L’Express avait suivi depuis ses débuts cet auteur-compositeur magnifique, l’unique dame de la chanson - aux côtés de Brel, Brassens, Ferré. [Article paru dans L'Express le 4/12/1997]



lle aimait les volets clos, les fins d'automne et les manteaux de fous rires. Sa voix tremblée, souffle vibrant, enveloppait de quelques mots, de quelques notes, de gestes tournoyants, les chemins d'Italie, les roses de velours, les lilas blancs, les rires d'enfants et les «vins clairs de fleurs nouvelles».

Diaporama


Cliquez sur l'image pour découvrir quelques clichés tirés de La Chanteuse et le photographe, de Marcel Imsand (Ed. Autrement), actuellement en librairie. Et, découvrez une version de Le Temps du Lilas, enregistrée pour l’émission Rendez-vous à 5 heures, le 4 avril 1962 pour la radio Chaîne Parisienne (Ed. INA-France musique).

Demain, «c'est l'au revoir/ Je quitte vos rivages», prophétisait-elle régulièrement, devant un public toujours debout. Ajoutant: «Je vous remercie de vous.» La mort, «cette femme qui marche dans les rues», aimait sans doute Barbara à en mourir, lundi 24 novembre, avant la nuit. Avant qu'un baiser froid lui monte aux lèvres.

«Une nuit de mon enfance/ Toute pareille à celle-ci/ Une longue nuit de silence.» Voici Barbara, au cœur de son théâtre intime, voici des souvenirs griffés, des passions imparfaites, des accents particuliers, des colères mémorables, un «je» infatigable. Barbara - figure si unique qu'elle en devient mystère - joue et déjoue les confessions clandestines. Son enfance, accrochée au square des Batignolles, puis volée par l'Occupation, forme probablement l'énigme d'une existence menée comme une fugue, de valises en hôtels, murant une déchirure tout juste suggérée dans ses chants de bataille. «Parmi tous les souvenirs/ Ceux de l'enfance sont les pires», concédait-elle.

Se dessine en filigrane tout un ciel d'amours mortes, tailladé de noirs profonds - «La mort du jour dans les draps de l'ennui» (Seul, de Brel) - ou de détresses grises - «Comme épave perdue/ Je me cogne et me brise» (Seule, de Barbara). Barbara envoie, au bord du vertige, des missives bleues, écrites à l'encre des regrets, du faux, du vrai, qui dévoilent un mariage tôt brisé par une belle-mère méprisante: «Vous demandez pardon de n'avoir pas compris ce qu'était notre amour» (Lettre à Madame).

Les mains nues, elle noue de lentes prières suspendues. Pourtant, si, le cœur meurtri, Barbara s'abandonne à la peine d'un père disparu «sans un adieu, sans un je t'aime» (Nantes), elle enferme le chagrin d'une mère perdue dans une ode libérée de mots (Musique pour une absente), composée telle «une traversée de Paris, un matin de novembre». Novembre, un mois de cendres, qui figurera le marque-page de son destin.

Elle fréquentait la mort, elle soupirait la vie, le jour qui vient, les moulins de Pantin, les complaintes des filles de joie, les rumeurs des bordels, Mac Orlan, Fragson, Moustaki, Brassens et Brel. La voilà ployée, énervée, mais jamais pliée sous le bronze des épithètes qui la sculptent, tulipe noire, oiseau de proie, louve solitaire, longue dame brune. «Je suis juste une femme qui chante», rectifie-t-elle sans cesse.

Oui, mais une femme fatale qui brûle des cathédrales de chair, s'amarre à la bouche d'amants considérables, plante le plaisir au creux des reins, frivole des sens: «Moi, je m'balance/ Je m'offre à tous les vents sans réticence.» Barbara n'en finit pas de parcourir les blés en herbe: «Les plus belles amours sont les amours incestueuses.» Ombre et lumière, elle se veut femme parmi ses hommes, le seul remède à ses nuits: «J'en ai connu des grands, des beaux, des bien bâtis/ Des gentils qui venaient pour me bercer et combattre mes insomnies.»

«Je crois en l'homme», affirmait-elle de Précy-sur-Marne, «Précy-jardin, Précy-merveille», au cours d'interviews rares où elle distillait, comme dirait Beckett, «des gouttes de silence à travers le silence». Lorsque Barbara s'offrait, elle donnait tout: son rocking-chair, son piano, ses lunettes, ses Thermos, ses tricots, ses grands oiseaux de neige, aussi, et parfois des larmes de pluie. «Aujourd'hui, tout semble dérisoire, indécent, y compris chanter, confiait-elle lors de son dernier spectacle au théâtre du Châtelet. Il y a comme un sanglot qui ne passe pas.»

Pareille à ses guerriers de tranchées, Barbara ouvrait des fronts, scellait des alliances, formulait des espoirs. Au début des années 60, les enfants blonds de Göttingen jetaient un pont vers le pardon. Mille Chevaux d'écume se bat pour tous les prisonniers politiques, «fusillés pour crime d'insolence». Regarde célèbre François Mitterrand, une rose à la main, au lendemain de mai 1981. Les Enfants de novembre, tissés lors des manifestations d'étudiants de l'hiver 1986, adressent un hommage à Malik Oussekine, victime d'une bavure. Coline (un texte de Jacques Attali) stigmatise la drogue. Rêveuses de parloir visite les taulières, et Le Couloir s'incline devant les infirmières, «ces anges en sandales et en blouse blanche».

Le sida était son combat. «Parce que toujours j'ai essayé de parler d'amour, il m'a paru évident de parler de cette maladie, qui, quelque part, est un grand mal d'amour.» Militante avant tous, elle crache Si d'amour à mort - «Si s'aimer d'amour/ C'est mourir d'aimer/ Sont mourus d'aimer/ Sida sidannés» - distribue des préservatifs à la sortie de ses messes-concerts. Fantôme discret, Barbara, la douceur des patients de l'hôpital Bichat, installe pour eux, à Précy, une ligne de téléphone privée, et leur fait les courses comme une petite mère, elle qui n'a jamais eu d'enfant. «Pas un, non, mais des milliers. Des milliers d'enfants aux milliers de bras ouverts.»

Read More...

jeudi 13 décembre 2007

Pourquoi des CRS et des flics ?

Avez-vous entendu parler de Pierre ? C'est un lycéen de Nantes. Il a 17 ans. Voilà deux semaines, le mardi 27 novembre, il est allé manifester contre la réforme sarkozyste de l’université. Il se trouvait sur les pelouses du rectorat, avec un bon millier de manifestants, quand les CRS et les flics sont arrivés, et ont chargé. Brutalement. En tirant au Flash-ball. Pierre a reçu une balle dans l’œil. Transporté en urgence à l’hôpital. Dès le lendemain, le préfet se sentait en mesure d’affirmer aux journalistes que le diagnostic était «plutôt rassurant». Ce préfet est formidable. Il est plus rapide que les médecins du CHU. Lesquels, deux jours plus tard, estimaient le pronostic «incertain» et relevaient un «potentiel de risque de perte complète de la fonction visuelle» : «Des complications peuvent survenir (décollement de la rétine, glaucome post-traumatique).» À l’heure qu’il est, Pierre est sorti de l’hôpital. Il a 23 jours d’ITT. Et le pronostic est toujours incertain.

Alors, aviez-vous entendu parler de Pierre ? Les médias ont été d’une discrétion de violette à son sujet. Après tout, un gamin qui risque de perdre un œil, ça n’est guère une information. Il n’avait qu’à pas. Il ne nous intéresse pas. Les seules victimes dignes d’attention sont celles auxquelles s’intéresse l’omniprésident Sarkozy.

Savez-vous qu’à Nantes, le jeudi 29, près de quatre mille jeunes ont manifesté pour protester contre les violences policières, et notamment celle-là ? Il semblerait que tout le monde ne trouve pas parfaitement normal le fait que le droit de manifester s’accompagne désormais du droit à avoir un œil en moins. Mais qu’est-ce que quatre mille personnes ? Dans les médias nationaux, rien ou presque.

Savez-vous qu’en fin de semaine dernière 30 universités françaises étaient encore bloquées ? 31 selon SUD-étudiants, entre 13 et 17 selon les anti-bloqueurs de «Libère ta fac»… Et que 41 lycées l’étaient aussi ? Là encore, les médias ont été d’une discrétion remarquable. Après tout, les principaux syndicats lycéens et étudiants Fidl, UNL et Unef ne soutiennent plus le mouvement, donc la ministre Pécresse a gagné, donc les blocages n’ont plus lieu d’être, donc c’est comme s’ils n’existaient pas, donc ils n’existent pas : pourquoi parler de choses qui n’existent pas ?

Pour être informé du fait que les facs françaises bougent, qu’elles bruissent encore de débats, d’assemblées générales, de manifs, de grèves, il n’y avait, ces derniers quinze jours, qu’un seul recours : les sites Internet du réseau Indymedia, à Paris, Lille, Nantes, Grenoble, Toulouse, Saint-Étienne, Clermont-Ferrand, ou Rebellyon à Lyon, Bellaciao à Paris, etc. Le tout formant une sorte de vaste place publique où claquent au vent les dazibaos, vivante, engagée, subjective, alimentée par des militants (donc pas forcément fiable : il faut recouper), avec tracts, vidéos, photos, appels à manifester, agit-prop, agendas, etc. Oui, c’est sur ce média alternatif, multiforme ouvert et bordélique qu’on pouvait (et qu’on peut toujours) s’en apercevoir, tellement il déborde de contributions ces jours-ci : la loi Pécresse, même assaisonnée de quelques milliards, ne fait tou­jours pas l’unanimité. Une info à transmettre à TF1

Jean-Luc PORQUET
Le Canard enchaîné, 12 décembre 2007

source : Le Jura Libertaire

Read More...

Quels sont les chiffres en Belgique ?

Reprise d’entreprise : quand les salariés s’impliquent

vignette-reprise-d'entrepri
evenementBusiness01::EntreprisesBusiness02::Particuliers

On le constate chaque jour en lisant la presse économique et professionnelle, les Français se découvrent de véritables talents d'entrepreneurs. On sait aujourd’hui que dans les 15 ans à venir, 900 000 entreprises verront leurs dirigeants partir à la retraite et qu’en moyenne, une entreprise sur 2 disparaîtra dans les 3 à 5 ans suivant sa création… La reprise d’entreprise par les salariés apparaît comme une solution...


Transméa Première société de capital risque dédiée à la reprise d’entreprise par les salariés

arton2744

On le constate chaque jour en lisant la presse économique et professionnelle, les Français se découvrent de véritables talents d'entrepreneurs. On sait aujourd’hui que dans les 15 ans à venir, 900 000 entreprises verront leurs dirigeants partir à la retraite et qu’en moyenne, une entreprise sur 2 disparaîtra dans les 3 à 5 ans suivant sa création… La reprise d’entreprise par les salariés apparaît comme une solution pertinente au service du développement économique régional. Or une étude montre qu’un ancien salarié de l’entreprise a deux fois plus de chance de réussite qu’un repreneur extérieur. Cette reprise par le salarié peut s’effectuer par le biais d’une SA ou d’une Sarl Scop. Transméa, la nouvelle société à capital risque peut booster le projet de reprise des salariés. Elle propose un accompagnement et un financement adapté

disc0
Transméa accompagne les salariés
Cet outil vise la transmission d’entreprises saines et la reprise d’entreprises en difficulté en Rhône-Alpes et s’engage ainsi en faveur d’un développement économique durable. Cet objectif domine la logique de rendement financier. Chaque année plus de 250 emplois sont concernés. L’ambition de Transméa étant de sauvegarder durablement 2 000 emplois en 10 ans.

Transméa accompagne l’équipe de repreneurs dès l’élaboration du projet et lui apporte les fonds complémentaires. Le dispositif prévoit également une mise en réseau ainsi qu’un suivi post reprise avec la mise en place d’un programme de formation des salariés et futurs associés.
Financièrement, elle s’appuie sur des apports en fonds propres. En complément du capital amené par les salariés associés, il permet de réaliser un effet de levier important auprès des autres sources de financement comme les prêts participatifs du mouvement coopératif, prêts bancaires et fonds de garantie. Elle s’engage à hauteur de 10 000 € à 300 000 € en capital ou titres participatifs. Le ticket moyen est évalué à 90 000 € en transmission et 120 000 € en reprise d’entreprise en difficulté.
La mise en place d’un Plan Epargne Entreprise dès cette prise de participation assure le rachat des titres à échéance de 5 à 10 ans. La durée moyenne est de 7 ans. Les entreprises ciblées sont de 3 à 50 salariés lorsqu'elles sont saines et de 3 à 100 salariés en cas de situation difficiles. Aucun domaine d’activité n’est exclu. Le champ d’action de Tranméa : Rhône-Alpes et plus particulièrement les territoires ruraux et zones péri-urbaines. La stratégie de prospection est initiée, en priorité, à partir des pôles suivants : Rovaltain, Bassin annecien, Grand Lyon, Communauté d’agglomération grenobloise

Rhône-Alpes : une région en mutation
Selon une étude Katalyse de 2004, le marché des entreprises susceptibles d’être reprises se décompose en 2 catégories : les entreprises sans problème mais que le dirigeant veut céder et les entreprises en difficultés.
Les entreprises saines dont le dirigeant est en âge de prendre sa retraite et n’a pas de succession.
En Rhône-Alpes, 8500 entreprises saines seront à transmettre dans les 10 prochaines années. Parmi elles, 2500 se situent dans la cible de Transméa soit 3-49 salariés. 15 à 20% répondent aux critères d’intervention du dispositif soit 400 dossiers/an.
Quant aux entreprises en difficulté, en Rhône-Alpes environ 360 dossiers donnent lieu à un plan de cession chaque année. A ce potentiel s’ajoute les dossiers en liquidation soit 560 dossiers par an environ. Parallèlement, la cible prioritaire de la RES est celle des structures de 20 à 50 salariés (soit 4% des entreprises de Rhône-Alpes) aux difficultés identifiées comme non liées à la fragilité du fonds de commerce. Ceci indique que 5% du marché potentiel accessible à la reprise d’entreprise est une cible Transméa soit 30 entreprises /an.
Au total, on estime ainsi qu’environ 9000 entreprises seront à reprendre, en Rhône-Alpes, au cours des 10 prochaines années, ce qui représente pour Transméa un marché potentiel de plus 430 entreprises/an

L’entreprise coopérative séduit de plus en plus de salariés qui veulent entreprendre ensemble. Chacun est actionnaire dans l’entreprise, participe aux grandes orientations telles que la désignation des dirigeants. Dans la région, les Scops rassemblent 4000 salariés dans des secteurs aussi divers que le BTP, l’industrie ou les services. Les entreprises ont généré, en 2006, 390 millions d’euros de chiffre d’affaires !

source : Lyon gratuit

Read More...

Pourquoi cette mesure serait-elle dangereuse ?

Possible déblocage de la participation des salariés

L’hypothèse d’un déblocage de la participation des salariés, en principe bloquée pour cinq ans au minimum, sauf exception (chômage, acquisition de la résidence principale...), resurgit pour la seconde fois en deux mois. Car les prévisions de croissance ne se sont pas améliorées : autour de 2% pour la France en 2008, en partie à cause du prix du baril de pétrole. Mais cette hypothèse ne fait pas l’unanimité.

Déjà, au mois de septembre, l’Association française de gestion financière (AFG) avait jugé qu’une telle mesure serait inefficace pour relancer le pouvoir d’achat et la croissance et dangereuse pour le développement d’une épargne retraite complémentaire. Inefficace, parce que ceux qui ont le plus de mal à consommer, ce sont les salariés des PME, les jeunes et ceux qui ont des petites retraites. Or, ils ne sont pas vraiment concernés par la participation.

Et sur le plan macroéconomique, selon l’AFG, les «bénéfices» en termes de croissance d’un déblocage de la participation seraient sans doute limités. Enfin, alors que l’insuffisance de la retraite par répartition est un fait acquis, il faut inciter les Français à épargner à long terme. Or, pour reprendre une expression de l’Association française de gestion, permettre le déblocage serait «anti-pédagogique».

L’AFG a enfoncé le clou ce matin en affirmant que la vraie relance du pouvoir d’achat passe, selon elle, par l’extension de l’épargne salariale et non par le déblocage de la participation. «Contrairement à une idée reçue, ce n’est pas en débloquant les encours existants ou en mettant fin au principe de leur gestion à cinq ans que les outils de la participation mis en place il y a plus de quarante ans par le général de Gaulle pourront contribuer efficacement à augmenter le pouvoir d’achat, mais en les diffusant au plus grand nombre d’entreprises et de salariés», explique l’AFG.

Il pourrait également y avoir un risque fiscal. Car, expliquent certains fiscalistes, à force de débloquer ce qui était bloqué, on transforme la participation en revenus, qui supportent alors l’impôt qui porte leur nom.

source : Investir

Read More...

Pourquoi ces manifestations ?

Loi Pécresse: blocages de facultés à Toulouse et Tours

EDUCATION mar 6 nov

Des étudiants de l'université Toulouse-Le Mirail ont bloqué mardi matin l'entrée des bâtiments de la faculté pour protester notamment contre la loi Pécresse sur l'autonomie des universités.

A Tours, une centaine d'étudiants ont bloqué l'entrée des bâtiments de la Faculté de Lettres de Tours, les Tanneurs.

La ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a jugé sur France Info que le mouvement n'était "pas justifié", réclamant "un peu de patience" en attendant que la réforme "porte ses fruits".

La loi sur l'autonomie des universités prévoit que dans un délai de cinq ans toutes les universités accèdent à l'autonomie dans les domaines budgétaire et de gestion de leurs ressources humaines, et puissent, à leur demande, devenir propriétaires de leurs biens immobiliers.

"C'est paradoxal qu'au moment où l'Etat se réengage, au moment où l'Etat décide d'accompagner les universités pour qu'elles soient plus puissantes, plus fortes, pour qu'elles assurent une meilleure insertion professionnelle des étudiants (...), qu'à ce moment-là, il y ait un mécontentement qui ne me paraît pas justifié", a affirmé Mme Pécresse.

A Rouen, les étudiants bloquent depuis le 30 octobre les facultés de lettres et de psycho-socio.

Lundi, entre 100 et 200 personnes ont occupé pendant quelques heures le site de Tolbiac de l'université Paris I avant de le quitter en fin de journée, alors que celui-ci est fermé administrativement.

source : RTL

Idées : La qualité (peut-être pas uniquement, le coût doit certainement aussi être un élément déterminant) de l'enseignement en Belgique semble attirer énormément d'étudiants étrangers. Pourquoi ne pas en faire une matière première à vendre aux candidats étrangers à la formation. Celà génèrerait des recettes et des emplois.

Read More...